13 Février 2020
Vous surfez sur le marché étranger et celui italien en particulier ? Plus besoin de vous munir d’un dictionnaire pour lire la carte grise italienne, les éléments essentiels sont ici afin de vous aider dans les démarches administratives pour immatriculer votre voiture italienne.
Sommaire
Afin de profiter pleinement de votre achat, sans être tracassé par les contraintes administratives qui s’en suivent, nous vous aidons à déchiffrer les inscriptions techniques qui composent le certificat d’immatriculation (CI) italien.
Pour circuler sur la route, vous aurez besoin du Libretto, aussi appelé Carta di Circolazione, qui est l’équivalent de notre carte grise française. C’est une sorte de carte d’identité de la voiture avec toutes ses données techniques et administratives répertoriées.
Pour le statut juridique actuel du véhicule neuf ou d’occasion, le Certificat de Propriété (Certificato di Proprietà), atteste que vous en êtes le propriétaire. Depuis le 5 octobre 2015, il est devenu digital : l’accès et la visualisation se font en ligne. Pour toute automobile neuve ou d’occasion
Importer une voiture d’Italie est facilité grâce à l’appartenance à l’Union Européenne, qui conserve les mêmes champs pour tous les pays européens. Le certificat d’immatriculation d’Italie contient les mêmes standards que celui de France.
A noter que quand la lettre K a son champ intégralement rempli, autrement dit quand il y a plus de deux chiffres après l’astérisque, il n’y a pas besoin de faire une demande de Certificat de Conformité Européen (COC). Ce document est obligatoire pour l’immatriculation en France d’un véhicule provenant d’un pays membre.
Vous pouvez constater des similitudes entre le document en version italienne et française, grâce aux exemples comparatifs ci-dessous :